Brièvement (ou pas)
Je ne croit pas avoir la chance de revenir sur mon ordinateur avant un petit moment. Dimanche, je passerai la journée avec Chéwi qui s'est donné comme mission de me changer les idées en me payant un petit resto et en me faisant jouer à la Playstation, question de me défoncer le stress dans des jeux bien sanglants. Aussi bien dire que j'aurai mieux à glander que de fracasser mon clavier à coups de doigts qui frisent vers l'intérieur pour vous faire part pour la millième fois que je suis stressée pour lundi.
Puis, je commencerai ma formation et je serai probablement sous le choc pendant quelques jours avant de pouvoir sortir de ma béatitude (ou de ma stupéfaction) pour écrire quoi que ce soit concernant mes premiers jours.
J'ai déjà l'expérience de deux premiers jours dans cette formation, alors pour les deux premiers jours que j'aurai à vivre je sais plus au moins à quoi m'attendre. Présentation des élèves, attribution du casier, petit questionnaire pour évaluer nos motivations (et notre français, mais ça faut pas le dire), petits travaux de bricole pour voir jusqu'où va notre inspiration et puis voilà. Ensuite, pour la deuxième journée, on embarque dans les petits travaux à deux où l'on doit se questionner sur le métier d'infographie puis on saute à pied joint dans le premier vrai travail à remettre : l'interview d'un infographiste. Entre temps, j'espère que je ne serai pas entouré de morons en quantité over industrielle et que les pauses ne seront pas pénibles. Bref, encore beaucoup de craintes et d'attentes par rapport à cette formation, j'en fait une maladie sauf que ça vous l'avez constaté.
Tout ça pour dire que je ne vous abandonnerai pas, je vais seulement me faire moins présente. Ceci dit, je continuerai de vous lire le plus religieusement possible et je ferai mon possible pour vous laissez quelques commentaires, soit sur vos blogues ou sur Facebook pour ceux qui s'y trouvent.
J'ai finalement j'ai écrit mon message à Kristin et j'espère qu'elle ne m'en voudra pas d'être honnête à ce point. J'espère aussi qu'elle verra que j'essaie seulement de la conseiller du mieux que je peux, avec les connaissances de la vie que j'ai (très peu, faut dire). Ça me tient vraiment à coeur ce qu'elle me raconte et ce qu'elle vit, je ne voudrais pas qu'elle voit de mauvaises intentions dans mes mots. C'est à suivre, disons.
C'est tout. Wish me luck, folks! Je croit que je vais vraiment en avoir de besoin ce coup-ci.
Et puis de la marde, j'ai pas envie de corriger mon texte. Trop zombie pour faire ça après avoir écrit mon mail extrêmement long à Kristin, en plus qu'il est 2 h 14!
EDIT, dimanche à 23h34: PUTAIN. Chéwi vient de partir et ça n'a fait qu'accentuer mon (mes) angoisse(s). J'ai prit en note l'horaire des autobus 17,31,41,73 et 74 pour être certaine que je ne serai pas en retard aucun jour de ma vie à moins de faire preuve d'une mauvaise volonté malsaine pour raison x qui sera (très) probablement approuver par mon Oni. Il ne me reste plus qu'à me doucher, préparer mon lunch (trop une saleté faire ça le jour même), puis... attendre l'heure fatidique. J'ai beau me dire que la première fois tout était correct, ça ne me rassure pas pour autant. En tout cas, Chéwi pourra témoigner de voir ce qu'est une montée de stress d'heure en heure, oh que oui. (s'en va sur la voie de sa destinée, les larmes jusque dans les boyaux).
Je gère mal mon stress? Moi?!